Découvrez les 9 petits-déjeuners incontournables de la gastronomie vietnamienne : un voyage culinaire dès l’aube
Le Vietnam, pays aux mille saveurs, révèle toute sa richesse gastronomique dès le lever du jour. Les Vietnamiens, adeptes des réveils matinaux, commencent leur journée par une promenade vivifiante ou une séance de jogging dans les parcs verdoyants, avant de s’attabler devant un petit-déjeuner aussi varié que délicieux. Plongeons ensemble dans l’univers savoureux des 9 plats emblématiques qui font la renommée du petit-déjeuner vietnamien, véritable institution culturelle et culinaire.
Xoi, le riz gluant aux mille variantes
Bun cha, vermicelles de riz et nem grillés
Banh cuon, les délicats raviolis de riz
Pho, l’emblématique soupe réconfortante
Bò sốt vang, le bœuf mijoté au vin rouge
Com tam, le riz brisé aux multiples accompagnements
Bun bo Huê, la soupe épicée de l’ancienne capitale
Hu tieu, la soupe saïgonnaise aux saveurs du Sud
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1. Banh mi, le sandwich réinventé à la vietnamienne
Le banh mi, véritable star des rues vietnamiennes, incarne à lui seul la fusion réussie entre tradition culinaire française et saveurs asiatiques. Ce sandwich vietnamien est bien plus qu’un simple en-cas : c’est une explosion de goûts et de textures qui ravit les papilles dès le petit matin.
Imaginez une baguette croustillante à l’extérieur et moelleuse à l’intérieur, garnie d’un assortiment savoureux de viandes marinées – porc grillé, poulet effiloché ou pâté maison. Les légumes frais apportent croquant et fraîcheur : carottes râpées acidulées, concombre croquant, et une généreuse poignée de coriandre parfumée. Le tout est relevé par une sauce maison, souvent épicée, qui lie harmonieusement tous ces ingrédients.
Ce qui fait la particularité du banh mi, c’est son équilibre parfait entre le salé, le sucré, l’acide et l’umami. Chaque bouchée est une aventure gustative, alliant la tradition boulangère française à l’audace des saveurs vietnamiennes. Pratique à emporter et économique, le banh mi est le compagnon idéal des matins pressés, offrant un repas complet et savoureux pour bien démarrer la journée.
Lors de votre voyage au Vietnam, n’hésitez pas à explorer les nombreuses variantes régionales du banh mi. Chaque ville, chaque quartier a sa recette secrète, son ingrédient signature qui fait toute la différence. C’est en goûtant ces différentes versions que vous comprendrez pourquoi le banh mi est bien plus qu’un simple sandwich : c’est un véritable emblème de la street food vietnamienne, un héritage culinaire vivant qui continue d’évoluer et de surprendre.
2. Xoi, le riz gluant aux mille variantes
Le xoi, ou riz gluant, est bien plus qu’un simple accompagnement au Vietnam : c’est un plat à part entière, adoré des petits comme des grands pour son côté réconfortant et sa polyvalence. Chaque matin, les rues s’animent du ballet des écoliers, leurs petits sacs en plastique débordant de ce mets emblématique.
La base du xoi est simple : du riz gluant cuit à la vapeur jusqu’à obtenir une texture collante et moelleuse. Mais c’est dans ses innombrables variantes que réside toute sa richesse. Le xoi peut être sucré ou salé, coloré naturellement ou laissé dans sa blancheur immaculée, garni d’une multitude d’ingrédients qui en font un repas complet et équilibré.
Parmi les versions salées les plus populaires, on trouve le xoi man, agrémenté de porc effiloché savoureux, d’oignons frits croustillants, et parfois d’une fine omelette. Le xoi xeo, teinté d’un jaune éclatant grâce au curcuma, est souvent servi avec des haricots mungos écrasés, créant un contraste de couleurs et de textures saisissant.
Pour les amateurs de douceur, le xoi dau phong associe le riz gluant à des cacahuètes grillées et du sésame, tandis que le xoi nep cam, préparé avec du riz gluant violet, offre une expérience visuelle et gustative unique, souvent accompagné de noix de coco râpée.
Ce qui rend le xoi si spécial, c’est sa capacité à être à la fois un petit-déjeuner nourrissant, un en-cas pratique ou même un dessert réconfortant. Sa texture unique, à la fois collante et fondante, en fait un aliment facile à manger, même pour les plus petits. Riche en glucides complexes, le xoi fournit l’énergie nécessaire pour bien démarrer la journée, tout en offrant une expérience gustative riche et variée.
Lors de votre séjour au Vietnam, n’hésitez pas à explorer les différentes variétés de xoi proposées par les vendeurs de rue et les restaurants locaux. Chaque région, chaque famille même, a sa recette préférée, témoignant de la diversité culinaire du pays. Le xoi est bien plus qu’un simple plat : c’est une invitation à découvrir l’ingéniosité et la créativité de la cuisine vietnamienne, dès le petit-déjeuner.
3. Bun cha, vermicelles de riz et nem grillés
Le bun cha, plat emblématique de Hanoi, a conquis les papilles des Vietnamiens bien au-delà de la capitale, devenant un incontournable du petit-déjeuner dans tout le pays. Ce mets complexe et savoureux allie la fraîcheur des vermicelles de riz à la richesse des viandes grillées, créant une symphonie de goûts et de textures dès le réveil.
Au cœur du bun cha se trouvent les vermicelles de riz, ou « bun », fines nouilles blanches et translucides dont la texture délicate contraste merveilleusement avec les autres éléments du plat. Ces vermicelles servent de toile de fond neutre, prête à absorber les saveurs intenses qui les accompagnent.
Les stars du plat sont sans conteste les nem grillés : de petites boulettes de porc mariné et des tranches de poitrine de porc, grillées sur des braises jusqu’à obtenir une caramélisation parfaite. Ce processus de cuisson confère à la viande des notes fumées irrésistibles et une texture à la fois croustillante à l’extérieur et tendre à l’intérieur.
L’ensemble est servi avec un bouillon léger et parfumé, à mi-chemin entre une soupe et une sauce. Ce bouillon, préparé à base de nuoc mam (sauce de poisson fermentée), de sucre, d’ail et de piment, apporte une dimension supplémentaire au plat. Son équilibre entre le salé, le sucré et l’acide est la clé de voûte du bun cha, liant harmonieusement tous les éléments.
Un assortiment généreux d’herbes aromatiques fraîches accompagne le bun cha : menthe, basilic thaï, coriandre et périlla ajoutent fraîcheur et complexité à chaque bouchée. Des légumes croquants comme la carotte râpée et le papayer vert apportent texture et acidité, contrebalançant la richesse de la viande grillée.
La beauté du bun cha réside dans son interactivité : chaque convive compose son bol selon ses préférences, mélangeant vermicelles, viandes, herbes et légumes avant de les tremper dans le bouillon savoureux. Cette personnalisation permet à chacun de créer sa propre expérience gustative, rendant chaque bouchée unique.
Bien que traditionnellement consommé au déjeuner, le bun cha a trouvé sa place dans les petits-déjeuners vietnamiens, offrant un repas complet, équilibré et incroyablement savoureux pour commencer la journée. Sa combinaison de glucides complexes, de protéines maigres et de légumes frais en fait un choix nutritif idéal pour fournir l’énergie nécessaire jusqu’au repas suivant.
Lors de votre voyage au Vietnam, ne manquez pas l’occasion de déguster un authentique bun cha, que ce soit dans un restaurant local ou auprès d’un vendeur de rue. C’est en savourant ce plat emblématique que vous comprendrez vraiment pourquoi la cuisine vietnamienne est célébrée dans le monde entier pour sa fraîcheur, sa complexité et son équilibre parfait des saveurs.
4. Banh cuon, les délicats raviolis de riz
Les banh cuon, véritables joyaux de la cuisine vietnamienne, sont bien plus qu’un simple plat : ils sont le témoignage d’un savoir-faire ancestral et d’une finesse culinaire incomparable. Ces délicats raviolis de riz, aussi légers que des nuages, occupent une place de choix dans le cœur des Vietnamiens et sur leurs tables du petit-déjeuner.
La préparation des banh cuon est un véritable art, transmis de génération en génération. Tout commence par une pâte fluide à base de farine de riz et d’eau, dont la consistance parfaite est le secret d’un banh cuon réussi. Cette pâte est ensuite versée en une fine couche sur un tissu tendu au-dessus d’un cuiseur à vapeur. En quelques secondes, la chaleur transforme ce liquide en une feuille de riz translucide et élastique, si fine qu’elle en devient presque transparente.
Une fois la feuille cuite, elle est délicatement garnie d’un mélange savoureux de porc haché et de champignons noirs finement émincés, préalablement sautés avec des épices. La feuille est alors habilement roulée pour former un ravioli délicat, dont la texture contraste merveilleusement avec le croustillant de la garniture.
Les banh cuon sont traditionnellement servis avec des tranches de chả lụa (saucisse de porc vietnamienne), des germes de soja croquants, et une généreuse poignée d’herbes aromatiques fraîches comme la coriandre et la menthe. Ce qui lie l’ensemble et élève le plat à un niveau supérieur est la sauce nước chấm, un condiment incontournable de la cuisine vietnamienne. Cette sauce, à base de nước mắm (sauce de poisson fermentée), de sucre, d’ail et de piment, apporte une explosion de saveurs à chaque bouchée, mêlant subtilement le salé, le sucré et l’acidité.
La beauté des banh cuon réside dans leur légèreté et leur délicatesse. Malgré leur apparence simple, ces raviolis sont un véritable défi culinaire, nécessitant une maîtrise parfaite des techniques de préparation. La finesse de la feuille de riz, qui doit être assez résistante pour contenir la garniture sans se déchirer, tout en restant suffisamment fine pour fondre en bouche, est le résultat d’années de pratique.
Au-delà de leur goût exquis, les banh cuon sont appréciés pour leur digestibilité et leur légèreté, en faisant un choix idéal pour le petit-déjeuner. Ils fournissent une énergie durable grâce aux glucides complexes du riz, tandis que la garniture de porc et de champignons apporte les protéines nécessaires pour bien commencer la journée.
Lors de votre voyage au Vietnam, ne manquez pas l’opportunité de déguster des banh cuon fraîchement préparés. Observez les artisans à l’œuvre dans les petites échoppes de rue ou les restaurants traditionnels : leur dextérité et leur rapidité sont un spectacle en soi. Chaque région du Vietnam a sa propre variation de banh cuon, certaines ajoutant des crevettes à la garniture, d’autres parfumant la pâte avec des épices locales. Explorer ces différentes versions vous permettra de découvrir toute la richesse et la diversité de la cuisine vietnamienne.
5. Pho, l’emblématique soupe réconfortante
Le pho, véritable ambassadeur de la cuisine vietnamienne à travers le monde, est bien plus qu’une simple soupe : c’est une institution culinaire, un réconfort matinal, et pour beaucoup, le cœur battant de la gastronomie vietnamienne. Ce plat emblématique, dont les origines remontent au début du 20ème siècle dans le nord du Vietnam, a su conquérir les palais de tout le pays et au-delà, devenant un incontournable du petit-déjeuner vietnamien.
L’âme du pho réside dans son bouillon, une symphonie de saveurs obtenue après des heures de mijotage patient. Des os de bœuf, soigneusement sélectionnés, sont longuement bouillis avec un mélange secret d’épices – généralement de la cannelle, de l’anis étoilé, du clou de girofle, de la cardamome et du gingembre. Ce processus donne naissance à un bouillon clair mais incroyablement riche, dont la profondeur et la complexité gustative sont le fruit d’un savoir-faire transmis de génération en génération.
Dans ce nectar fumant viennent plonger des nouilles de riz plates et soyeuses, dont la texture délicate contraste merveilleusement avec la tendreté des fines tranches de bœuf. Ces dernières, souvent un mélange de viande cuite et de viande crue qui finit de cuire dans le bouillon brûlant, apportent une dimension supplémentaire au plat. Selon les préférences, on peut y ajouter des morceaux de flanc, des boulettes de viande, ou même, dans certaines variations régionales, du poulet.
Ce qui rend chaque bol de pho unique est la touche personnelle que chacun y apporte. Un assortiment généreux d’herbes fraîches – basilic thaï, coriandre, menthe – est systématiquement servi à côté, invitant le mangeur à personnaliser son expérience gustative. Des pousses de soja croquantes, des tranches de piment frais et des quartiers de citron vert complètent cette palette d’accompagnements, permettant à chacun d’ajuster l’équilibre entre fraîcheur, épice et acidité selon ses goûts.
Le rituel du pho est tout aussi important que sa saveur. Dès l’aube, les rues des villes vietnamiennes s’animent du cliquetis des bols et du murmure des conversations autour des stands de pho. Des familles entières, des travailleurs matinaux et des noctambules sur le chemin du retour se côtoient dans une ambiance conviviale, unis par le plaisir partagé d’un bol de soupe réconfortante.
Bien que traditionnellement associé au petit-déjeuner, le pho a su s’adapter aux rythmes de vie modernes et se déguste désormais à toute heure de la journée. Sa popularité ne se dément pas : que ce soit dans les échoppes de rue animées ou dans les restaurants plus raffinés, le pho reste un pilier de la gastronomie vietnamienne, apprécié pour ses qualités nutritionnelles autant que pour son goût incomparable.
Lors de votre voyage au Vietnam, déguster un authentique pho est une expérience incontournable. Chaque région, chaque ville même, a sa propre interprétation de ce plat national. Du pho traditionnel de Hanoi, caractérisé par son bouillon clair et ses garnitures minimalistes, aux versions plus généreuses et épicées du Sud, explorer les différentes variantes du pho est une façon délicieuse de découvrir la diversité culinaire du Vietnam.
Le pho n’est pas seulement un plat : c’est un voyage sensoriel, une tradition vivante, et un témoignage de la richesse de la culture vietnamienne. Chaque bol raconte une histoire, celle d’un pays qui a su transformer des ingrédients simples en une expérience gastronomique inoubliable, reconnue et appréciée dans le monde entier.
6. Bò sốt vang, le bœuf mijoté au vin rouge
Le bò sốt vang, ou bœuf au vin rouge, est un plat qui illustre parfaitement la fusion réussie entre les traditions culinaires françaises et vietnamiennes. Cette spécialité, née de l’influence coloniale française mais profondément ancrée dans la gastronomie vietnamienne, s’est imposée comme l’un des plats vietnamiens les plus savoureux et appréciés, notamment pour le petit-déjeuner dans certaines régions du pays.
L’origine du bò sốt vang remonte à l’époque coloniale, lorsque les Français ont introduit le bœuf bourguignon au Vietnam. Les chefs locaux se sont approprié la recette, l’adaptant aux goûts et aux ingrédients disponibles localement, créant ainsi un plat unique qui reflète l’histoire et la diversité culturelle du Vietnam.
Au cœur de ce plat se trouve le bœuf, soigneusement sélectionné pour sa tendreté et sa saveur. Les morceaux de viande sont longuement mijotés dans un mélange de vin rouge (souvent remplacé par de la bière rouge locale pour une touche d’authenticité vietnamienne), de bouillon riche, et d’un assortiment d’épices et d’aromates locaux. L’ajout d’épices comme la cannelle, l’anis étoilé et le clou de girofle apporte une profondeur et une complexité uniques au plat, le distinguant de son cousin français.
La sauce, élément clé du bò sốt vang, est un véritable nectar culinaire. Onctueuse et parfumée, elle enrobe chaque morceau de viande d’une saveur riche et complexe. Les légumes, généralement des carottes, des pommes de terre et parfois des oignons perlés, absorbent les saveurs du bouillon pendant la cuisson, devenant fondants et délicieusement parfumés.
Ce qui rend le bò sốt vang particulièrement apprécié au petit-déjeuner, c’est sa capacité à réchauffer et à réconforter dès les premières heures du jour. Servi fumant, généralement accompagné de pain frais pour saucer la délicieuse sauce, il offre un début de journée nourrissant et satisfaisant. Le pain, héritage de l’influence française, est souvent une baguette croustillante, parfaite pour absorber les saveurs intenses du plat.
Dans certaines régions, notamment dans le Nord du Vietnam où les matins peuvent être frais, le bò sốt vang est considéré comme le petit-déjeuner idéal pour se réchauffer et faire le plein d’énergie. La richesse en protéines et en nutriments de ce plat en fait un choix privilégié pour ceux qui ont une longue journée de travail devant eux.
La préparation du bò sốt vang est un processus lent et minutieux, nécessitant patience et savoir-faire. C’est souvent un plat préparé la veille et réchauffé le matin, ce qui permet aux saveurs de se développer pleinement et à la viande de devenir incroyablement tendre. Cette méthode de préparation en fait un choix pratique pour les familles occupées ou les vendeurs de rue qui peuvent ainsi servir rapidement ce plat délicieux dès les premières heures de la journée.
Lors de votre voyage au Vietnam, ne manquez pas l’opportunité de déguster un authentique bò sốt vang. Que ce soit dans un restaurant traditionnel ou auprès d’un vendeur de rue, chaque bouchée vous racontera l’histoire fascinante de ce plat, mélange harmonieux entre tradition française et innovation vietnamienne. La combinaison du bœuf fondant, de la sauce riche et du pain croustillant offre une expérience gustative inoubliable, témoignant de la capacité de la cuisine vietnamienne à s’approprier des influences étrangères tout en restant fidèle à ses racines.
7. Com tam, le riz brisé aux multiples accompagnements
Le com tam, littéralement « riz brisé », est bien plus qu’un simple plat : c’est un véritable symbole de l’ingéniosité culinaire vietnamienne et de la capacité du pays à transformer une nécessité en délice gastronomique. Originaire du sud du Vietnam, particulièrement populaire à Ho Chi Minh-Ville, le com tam s’est imposé comme un incontournable du petit-déjeuner vietnamien, apprécié pour sa polyvalence et sa saveur incomparable.
L’histoire du com tam est fascinante. À l’origine, le riz brisé était considéré comme un produit de qualité inférieure, résultat du processus de récolte et de transport du riz qui brisait inévitablement une partie des grains. Plutôt que de le gaspiller, les agriculteurs et les familles modestes ont commencé à le consommer, découvrant que ces grains brisés, une fois cuits, offraient une texture unique et absorbaient merveilleusement les saveurs.
La préparation du com tam est un art en soi. Les grains de riz brisés sont soigneusement lavés et cuits à la vapeur, ce qui leur confère une texture légèrement collante et moelleuse, idéale pour absorber les sauces et les jus des accompagnements. Cette cuisson particulière donne au riz une légèreté et une digestibilité qui en font un choix parfait pour le premier repas de la journée.
Ce qui rend le com tam vraiment spécial, c’est la variété presque infinie de ses accompagnements. Le plat de base, connu sous le nom de « cơm tấm sườn nướng », se compose généralement de riz brisé servi avec une côtelette de porc grillée marinée. Mais ce n’est que le début. Les variations sont nombreuses et chaque restaurant ou vendeur de rue a sa propre spécialité.
Parmi les accompagnements populaires, on trouve :
- Bì (porc effiloché mélangé à de la peau de porc râpée et des vermicelles de riz)
- Chả trứng (omelette à la vapeur avec du porc haché)
- Đồ chua (légumes marinés, généralement carotte et radis blanc)
- Mỡ hành (oignons verts frits dans l’huile)
- Trứng ốp la (œuf au plat)
Le tout est généreusement arrosé de nước mắm pha, une sauce à base de sauce de poisson diluée, de sucre, de citron et de piment, qui lie harmonieusement tous les éléments du plat.
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